C’est un article d’Euractiv qui se penche sur le sujet de l’ascenseur social en Allemagne également en panne, comme en France.« Les ministres des Affaires sociales européens tentent de se mettre d’accord sur les droits sociaux et le marché du travail. Mais l’origine sociale continue de peser fortement sur la carrière professionnelle en Allemagne, malgré son système social développé.
Six générations, c’est la durée nécessaire en Allemagne pour qu’une famille à faible revenu progresse jusqu’au revenu moyen. Dans les pays scandinaves, cette même ascension prend autour de trois générations.
« Dans une nouvelle étude, l’OCDE dresse un triste tableau de l’égalité des chances dans les pays d’Europe occidentale. L’Allemagne, qui dispose pourtant d’un système de sécurité sociale développé et d’une éducation gratuite, n’est pas épargnée : la règle y reste celle de la reproduction sociale, ceux nés pauvres restant pauvres et ceux nés riches restant riches »…Et en Allemagne, comme en France, les héritages financiers tiennent peu de place dans cette problématique. Pour prendre l’ascenseur social, ce n’est pas une question d’argent, et malgré les milliards d’euros qui sont dépensés chaque année de chaque côté du Rhin, le traitement de la pauvreté ne fonctionne pas.
Oui nous savons traiter l’extrême pauvreté en donnant les moyens minimaux de subsistance, mais l’on ne sait collectivement pas permettre aux pauvres de s’élever vers les classes moyennes et initier un parcours de réussite.
Il faut se demander pourquoi.
Quelles sont les causes de la reproduction de la pauvreté ?
La réponse ? Elles sont essentiellement comportementalo-éducatives, et ce n’est ni une question de moyens ni d’argent.
En Allemagne, la pauvreté gagne de plus en plus les retraités François Asselineau: “L’an prochain, il y aura 1,2 million de SDF en Allemagne, voilà le bilan brillant de Madame Merkel”
Encore une fois, les moyens et l’argent servent au traitement purement curatif.
Pour le « préventif », la solution est ailleurs, et elle est rudement complexe.
Charles SANNAT
Source: insolentiae – Voir les précédentes interventions de Charles Sannat
Les pauvres sont trop nombreux pour monter dans l’ascenseur, il ne faut pas oublier que le poids est limité, sinon c’est la panne assurée.
Les pauvres devront se contenter du monte charges (espagnol, c’est-à-dire Manuel), ou des escaliers, le problème ce sont les marches qui ne sont pas homologuées avec 2 ou 3 mètres de haut, ils sont loin d’être arrivés.
Avant en France, les pauvres avaient la chance d’avoir l’abbé Pierre, tandis que les portugais et les espagnols, devaient se contenter de l’abbé Tonnière.
Depuis que je suis petit; je m’aperçois qu’à part la fonction publique et de hautes études dans des secteurs de pointe globalement en France on hérite de la classe sociale de ses parents (ou on descend).
J ‘ai longtemps reproché à mes frères leur manque de patriotisme car ils sont partis à l’étranger pour les études ou le travail. Maintenant je regarde la vérité en face nos « Z »élites( force occultes) veulent un peuple de crétins les bac plus 5 s’en vont et les crasseux arrivent pour le grand remplacement(travailleurs détachés et Migrants).
Quand à mes vieux voyez vous ce sont des baby-boomers …ils ne pensent qu’a leur putain de retraite!
Je sais pas où on va, mais quand la machine va s’emballer; on va vivre des heures épiques(ou plutot tragique).
Petite question : si on fesait venir un technicien pour réparer l’ascenseur social pour qu’il refonctionne à nouveau normalement ?
Un technicien?
Tu parles de rétablir la droite des valeurs et la gauche du
travail?
Tu veux faire du social et du national?
La communauté de lumière ne laissera jamais une troisième voix s’imposer!
Tout le monde sait qui dirige en France.
Il suffit de regarder qui fait des génuflexions au repas du CRIF. 😉 et là on comprend ou se trouve la main gauche du diable.
Social, National, CRIF ?
Il ne manque plus que le tee-shirt ou le tatouage avec le chiffre 88.
Cette haine des vieux souvent répétée prend un tout autre éclairage …