Une prolifération de pucerons menace la betterave à sucre et fait chuter les rendements. Les agriculteurs ne peuvent plus utiliser un puissant insecticide, interdit par la France pour des raisons environnementales. Ils réclament une dérogation face à la crise.
Agriculture: le secteur du cidre en pleine crise Agriculture: la sécheresse menace une grande partie du territoire
Source: francetvinfo
A l’attention des lecteurs du site BusinessBourse
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Le sucre de betterave ne devrait pas être consommé car il est le résultat de multiples bains chimiques, ce que l’on ne vous dit pas !
Et c’est sans compter les ravages de ce sucre mort que l’on trouve partout dans les aliments préparés.
On vous y a habitué et donc pour vous c’est naturel : rien de plus faux.
L’apiculteur qui témoigne sur la bio-diversité, soi-disant rempart contre les pucerons est complètement à côté de la plaque, avec sa vision d’une nature qu’il ne faudrait pas dompter pour produire.
D’ailleurs je suis prêt à parier, connaissant le milieu apicole, que ses travailleuses domestiques n’ont plus grand chose de commun avec une abeille sauvage.
Les producteurs agricoles français sont les éternels dindons de la farce écologique, subissant les contraintes franco-françaises et la concurrence internationale dans le secteur du sucre, parmi d’autres, les conduisant à la faillite les uns après les autres.
Après on peut très bien faire du sucre avec de la canne à sucre, je pense que peut-être c’est envisageable grâce au réchauffement climatique, dans l’hypothèse où la canne à sucre serait moins sensible aux ravageurs, détail que je n’ai pas été creuser.
Voilà une excellente nouvelle. Les apiculteurs pourrontr peut-être enfin commencer à avoir de l’espoir pour sauver leurs ciolonies d’abeilles et ainsi produire du miel en quantité suffisante pour satisfaire les demandes en sucre et ainsi contribuer financièrement au monde agricole via la MSA.
J’ai deux apiculteurs de chaque côté de mes champs depuis vingt ans. Zero mortalité d’abeilles et dieu sait si un des apiculteurs haïssant les agriculteurs l’aurait clamé haut et fort à la moindre abeille qui ne serait pas rentré un soir au port.
Donc inutile de scinder le monde entre bons d’un côté et méchants de l’autre.
Par ailleurs, à Paris est sorti l’année dernière une étude très sérieuse montrant que les abeilles domestiques y ont chassé les abeilles sauvages.
Toute vérité n’est pas bonne à dire, semble-t-il.